D.Gray-man - Welcome to Another World
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Forum RPG sur le manga D.Gray-man.
 
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 Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]

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Deserty
♠ Poisson rouge à tendances névropathes ♠
Deserty


Messages : 12
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MessageSujet: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 20:49

1. Fiche d'identité.

My song

Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Ice_sc10

Nom : Unknown.
Prénom : Deserty
Age: Unknown
Groupe souhaité : Autre
Rang : Akuma modifié des temps anciens
Date de Naissance : Unknown. Mais je fus le premier démon crée par le Comte.
Lieu de Naissance : Unknown
Sexe : Féminin



2.Un peu plus en taille, très cher ~

Physique :

Toujours à vouloir te cacher derrière cette frange. Pourtant Deserty, elle est bien trop claire pour être inaperçue. Tu es trop lumineuse pour n’être, ne serait-ce, qu’ignorer…On pourrait tant disserter sur ton corps, tes faiblesses, tes défauts, mais ce ne seront que des choses éphémères ne trouvant comme écho que tes yeux tristes et flamboyants. Jamais tu n’as pris soin de ton apparence, mais cela ne veut pas dire qu’elle est éteinte et ne vis pas…Alors, qu’ils disent. Qu’ils médisent. Qu’ils murmurent leurs mensonges. Cela ne t’atteindra jamais. Tu es trop unique pour cela…

Te voir, fermer les yeux, les rouvrir pour mieux y croire. Tu es déjà partie. Laissant dans ta fuite les quelques plumes de tes ailes livides. Elles s’envolent, au gré du vent, pour caresser d’un air si innocent, notre chair. Cette sensation. Douce et à la fois glaciale. Comme si ses plumes étaient du verre. On en attrape une, avant qu’elles ne disparaissent elles aussi. Blanches. Si lumineuses dans la nuit noire. Ca nous prend au cœur. Es-tu un ange ? Mon ange ? Pour seule réponse le silence et tes pas fuyants la présence humaine.

On court. On te poursuit. Peut-être pour confirmer nos doutes. Es-tu un rêve, Deserty ? Peut-être même que tu es la forme humaine de la Lune…Nous voilà essoufflés. Tu cours vite, Deserty. Mais on ne peut abandonner l’idée de te revoir. C’est comme ça. On a besoin de cette vision claire, de cette lumière bleutée coulant à flots sur nos yeux fermés. Ah. Cette lumière…Je la vois, tout près de moi. Elle danse. Elle vole. Bercée par ta voix chantante. Oh ! Je n’arrive plus à décrire. Cette musique. Si indescriptible…Si triste…Si douloureuse. Pourquoi une telle voix existe ? Pourquoi cette chanson, Deserty ?

Finalement, malgré notre besoin de s’écrouler sur la terre meuble du bois, on arrive à toi. Tu nous tourne le dos. Tu as arrêté de chanter. Tu as stoppé ta course effrénée. Voilà que tu fixes le ciel en quête d’un mystère, d’un songe, peut-être d’un confrère ? Qu’importe ! La lumière de la Lune se reflète dans ton être, comme dans l’eau cristalline d’une rivière. Un court d’eau qui serait, dans ce cas, pris par la glace et la neige...Ah ! Je n’aime pas être captivé. Je hais me dire qu’il existe des choses étranges dans ce monde. Plus étrange que le narrateur lui-même…

On aimerait toucher ce dos gracile, cette peau si fragile. Blanchâtre. Poussiéreuse. Non pas livide. Juste rigide. Comme de la porcelaine ? Oh ! Tes ailes. On se souvient de cette texture. De cette plume restée dans notre main. Ce souvenir…S’en défaire ? A quoi bon. Je n’y pense déjà plus pour ma part. Tes cheveux. Du cristal découlant sur ton dos. Bleu. Si majestueux. Ondulés. Caressant ta robe blanche dans des tons qui se veulent passionnés mais ne donnent comme impression que celle de l’hiver glacé. Je n’arrive plus à savoir si tu es un élément de cette forêt ou bien si tu n’es que celui de mon imagination débordante. Peut-être ne t’ai-je plus en mon contrôle ? J’ai l’impression d’être moi aussi emprisonné dans la contemplation de ton être. Tu m’as échappé, Deserty. Tu vis sans avoir besoin de mes mots et de mes gestes. J’en suis quelque peu attristé, tu sais ?

On s’approche. Tu n’es pas magnifique. Juste unique. Juste figée dans cette contemplation intense du ciel de minuit. Qui cherches-tu, Deserty ? Silence. Toujours cette absence de bruits. Ce néant composant ta vie. Oh ! Deserty, jolie fée de la nuit. Voilà que tu te retournes. Enfin ! Pouvoir observer ton visage. Cet ovale plongeant. Ce petit nez rond. Ces si longues jambes composant ta petite taille. Comme l’on a l’impression de te connaître ! De tout savoir de toi. Cependant, l’on reste horrifié. Car on vient de comprendre quelque chose. Quelque chose qui nous attriste, nous ronge. Un cancer des plus pourrissants. Le mal même qui a élu domicile sur ton visage et ton corps. Tes yeux fermés. Une marque rouge et boursouflée. Une brûlure caressant ta douce joue. Découvrant ta maigre gorge. S’enracinant dans ton épaule. Laissant naître la souffrance sur ta hanche et ton omoplate. La laideur même qui fait que tu n’aies pas belle. Mais juste captivante.

Des larmes. Des sanglots. Pourquoi pleures-tu, Deserty ? Pourquoi ne me regardes-tu pas ? Me détestes-tu pour t’avoir donné cette apparence ? Je suis ton créateur, je suis celui à qui tu dois obéissance. Saches-le, Deserty. Et reviens entre mes mains pour que je construise ta douce histoire…Que je détruise ton songe éphémère de liberté. Deserty, ouvres tes yeux et fixes les miens. Laisses transparaître ta rancœur et ta colère !
Voici que tu les ouvre. On recule. Tes yeux. Ils sont…Voilà détruites les lèvres du narrateur. Voilà que la description de la reine lunaire s’arrête sur son regard qui ne sera jamais décrit. Et ne se rouvrira plus sur son monde…

Caractère :

Pourquoi toujours savoir ? N’en avez-vous pas assez de connaître les horreurs de ce monde ? N’êtes-vous jamais rassasier de connaissances hideuses ? L’Homme est niais. Idiot. Impuissant. Semblable à un ver de terre. Et le petit insecte rampant ferait mieux de retourner sous terre plutôt que de se laisser emporter par l’élan de la curiosité qui le mène vers le ciel et son orbe brûlant. Vos pauvres efforts n’auront servi qu’à mourir plus rapidement. Je ne suis pas de ceux qui qu’il faut comprendre. Je suis de ceux qu’il faut laisser à l’écart, car tisser des liens apportent tristesse et colère lorsqu’ils se brisent, des deux côtés…

Au premier abord, une poupée de porcelaine qui ne ressent rien. Qui obéit. Qui n’ouvre en aucun cas ses lèvres qu’importe qu’elle souffre ou que l’on crie son nom. Elle reste là. A vous contempler. Sans sympathie. De son regard grisé par le temps. Vous aurez beau la supplier, elle ne vous entendra pas. Si insensible. Est-ce possible ? Que se cache-t-il derrière ce minois poupin ? Pourquoi ne sourit-elle jamais ? Mystérieuse. Attractive par son mutisme. Attirante par ce masque et cette aura statiques. On ne peut la cerner. Tu ressembles de plus en plus à un oiseau, Deserty. Un moineau qui pourtant, n’arrive plus à s’envoler et ne sait que jouer la comédie pour survivre…

Triste. Si triste sous ton visage de poupée sans vie…Une inondation de larmes que tu retiens pour ne pas t’écrouler au sol et t’avouer vaincue face aux hommes. Tu les hais. Comme les exorcistes. Tu les hais. Ils t’ont volés ton trésor. Cette part de toi que tu as toujours chéri et qui désormais n’existe plus que dans tes rêves…Cette peine enfouie en toi est infinie ! Tenace ! Empoisonnée ! Et malgré tout, contrôlée par une détermination sans fin, elle aussi. La conviction et l’espoir de retrouver ta chose la plus précieuse. Alors tes remords et ta rage, tu ne les lâches pas. Jamais ! Tu les laisses sur ton visage telle une marque qui te rappelle ton objectif ; retrouver ce trésor chéri. Tu t’accroches. Tu t’accrocheras toujours, Deserty. Pour peut-être ne pas sombrer dans la folie ?

On a toujours essayé de te connaître. De se lier à toi. Des liens basés sur l’amitié, ou bien sur la colère. Mais aucune réponse ne vient aux tentatives désespérées de ces gens. Le Comte s’est servi de ton innocence, de cette candeur si belle qui est tienne, afin de t’enseigner qu’il ne faut jamais parler aux Hommes, que leurs faire confiance reviendrait à t’avouer vaincu dans la quête de ton trésor. Si influençable…Peut-être en est-ce la raison ? Peut-être crois-tu trop facilement ce que l’on te dit ? Alors tu n’écoutes que ton Papa. Parce qu’avec lui, tu réussiras. Et puis, tu l’aimes ton Papa. Une relation père-fille à laquelle tu tiens par son effet apaisant. Tu te sens moins seule…Mais dans ce cas, pourquoi ne pas te lier aux Hommes ? La solitude disparaitrait ! Ce serait contrer les ordres de mon Papa. Et tes congénères ? Ils me font peur. Ca ne se voit pas. Tu as l’air de les mépriser. Tu t’en éloigne. Tu restes près de ton Père, à lui tenir la main, à regarder de tes yeux mornes tes petits frères et sœurs, le désir de les connaître restant coincé dans ta gorge sèche. Trop timide. Trop craintive…Peur de souffrir. Peur d’être rejeter. Peur, tout simplement…

Cependant, tu arrives à tuer. Ah oui ! Tu n’hésites pas. Surtout lorsqu’il s’agit d'humains. Et il t’arrive même de leur parler de ta voix glaciale ou sanglotante. Mais tu n’hésites pas. Ah ça non, tu ne manques aucune occasion pour rendre le mal qu’ils t’ont infligés. C’est comme ça. D’ailleurs, pourquoi pleures-tu ? On dirait une enfant…C’est pitoyable. Tu t’en moques. De toute façon, tu ne pleures devant personne d’autre sauf devant ton Papa. Tu lui raconte tes malheurs. Toujours le même. A croire que tu veux oublier…
Jamais on ne t’a vu sourire après que tu es perdu ta chose la plus précieuse. Je me demande ce que ça donne quand la joie transparait sur ton visage, ou bien le rire. Ah mon avis, tu ne deviens pas jolie comme les humaines. Non, ça te change. Tu ressemblerais à une vraie poupée de porcelaine. Tu paraitrais enfin vivante…

Mais, tout "bonheur" possède une fin. La tienne se résume à quoi, Deserty ? A mourir peut-être ? A t'enfuir ? C'est déjà fait. Te voilà seule. Défaite du joug du Comte. Libre. Ton objectif est atteint. La plus ancienne des akumas peut désormais chanter à sa guise et vivre sa vie. Tu n'as pourtant pas l'air heureuse, Deserty. Plus la possibilité de te confier à ton Papa. Ni même de pleurer dans ses bras. Attendre un Mort, c'est stupide. Cela fait de toi quelqu'un de stupide ? Je ne sais pas, Deserty. J'avoue que je ne te comprends. Peut-être que quelqu'un va entendre tes sanglots et t'écouter. Peut-être qu'une personne en ces bas fonds suppotera ton physique et tes yeux indescriptibles...


Ce qu'il aime : Chanter, marcher et croire au fait qu'elle est humaine.
Ce qu'il n'aime pas : Le regard. La vérité sur son objectif, la souffrance et tant d'autres choses...

Sa plus grande phobie : Se rendre compte qu'elle ne retrouvera jamais son trésor.
Son plus grand tic : Toucher les paupières de ses yeux et chanter quand elle a de trop fortes émotions.

Son plus grands secret si il en a un : Ses yeux. Personne n'a jamais vu ce qu'il y avait derrière ces paupières constamment fermées. L'origine de la brûlure couvrant la moitié de son corps.

Ton innocence/Ton souvenir :

Quand j'utilise mon pouvoir, ma peau devient colorée. Comme une peinture. Mes cheveux sont alors aux couleurs de l'arc-en-ciel, en prenant de la longueur. Et toute une carapace noire s’entoure autour de mon corps, dans des grincements métalliques, comme les pattes d’une araignée. Des piques trouent ma peau, atteignant mes nerfs, mes articulations, et plus profondément, mon système nerveux. On ne voit absolument rien de mon corps, seulement une armure, aux reflets argentés, composée seulement de matière noire.

Je possède dans mes données un savoir incroyable. Ainsi, en utilisant mon énergie, et même mes cellules, je crée des armes, des cornes, des lames qui poussent d’elles-mêmes sur mes jointures. Des griffes acérées, des ailes noires, tout ce qui est équivalent à la partie de mon corps utilisée. C’est une sorte de système d’équivalence ressemblant à celui des alchimistes, ainsi je ne peux pas créer de gigantesques choses, rien de tout cela.

Un akuma qui ne possède aucun level particulier, ça existe. J'en suis la preuve vivante. Je suis le tout premier enfant du Comte Millénaire. Celui particulier, étrange. L'Aînée qui ressemble en tout point à une humaine, et veut en devenir une...

Spoiler:


3.Ton ancienne vie et celle que tu mêne


Histoire : Quand le vent souffle, tu parais nuage. Quand la mer mugit, tu parais songe. Quelle est ma réalité dans cette souffrance aveugle ?

-Deserty. Deserty, souries-moi ma chérie.

Et mes lèvres s’étirent. Et mes yeux se plissent. Et je ris, oh que je ris ! Une chaude lumière enveloppe cet homme au visage inconnu. Le dos arrondi, les genoux pliés, ses mains sont ouvertes, et l’on peut voir un sourire sur ses lèvres gercées. Pourtant, je ne vois ni ses yeux ni ses cheveux…Seulement son sourire.

-Viens me voir Deserty.

Papa…Je cours. Je saute en l’air, ses paumes dures vont me rattraper, m’emmenant autre part. A un endroit rien qu’à nous. Juste Toi et Moi. N’est-ce pas Papa ? N’est-ce pas que tu m’y accompagneras ? Douleur. Le Sol. Saignements et gargouillements. Je crache du sang, écarquillant les yeux, ne sachant plus si je suis toujours dans un rêve ou dans la réalité.
Je me sens soulever du sol, mon crâne me fait mal. Je hurle. Un coup dans la colonne vertébrale. Crachements, étouffements. De retour au Sol. Mal. Le Mal. L’Agonie. Je vois trouble. C’est un Cauchemar. Papa viendra me chercher. Et cette fois-ci, il m’emmènera dans cet endroit Rien qu’A Nous…

-Arrêtes de geindre ! Sale gamine.

Homme aux fortes paumes. Mais pas de ses paumes calleuses. Plutôt de ces mains de tortionnaire, de tuer et de fricasseur de crânes. Je n’ai jamais compris pourquoi l’on me faisait du mal. Pourquoi depuis cinq ans, je suis obligée à subir tant et tant de douleur et de honte.
Me le diras-tu un jour, Papa ? Pourquoi tout cela ?

-Dis-nous où est-ce qu’il est ! Sinon je te casse un bras et t’écorche ton visage !

Un macaque. Un horrible gorille. Et je tremble. Comme une Feuille. Mon cœur palpite. Je n’ai jamais compris, jamais su ce qu’était ce Il. Mais ils continuent. Chaque jour. Oui, chaque jour, à me faire du mal. A me détruire inconsciemment de l’extérieur jusqu’à l’intérieur. Cette lapidation, cette punition…Je l’emporterai avec moi, dans ma Mort, pour un Crime que je n’ai jamais compris. Et la Vie a commencé à s’acharner sur moi. A me dévorer. A m’assassiner violemment, éperdument. Comme si, je ne devais pas faire partie de cette Existence. Comme si, j’étais l’un des pires monstres qu’il soit donné de créer…
- Je ne sais pas ! Je ne sais pas ! J’vous en prie, me faites plus mal…J’vous jure j’en sais rien. Rendez-moi mon Papa ! S’il vous plaît, croyez-moi ! Je ne sais pas de quoi vous parler. Pitié ! Pitié ! J’vous en prie…

Pleurs. Larmes. Souffrance. Le quotidien de ma vie d’enfant de cinq ans. Squelettique. Sale. Inhumaine. De lourds sanglots se bloquaient dans ma gorge. Mon ventre creux tressautait. Je me tenais en chien de fusil, bavant et crachant sur mes genoux noirs. Je n’avais pas le droit de pleurer. Pas le droit de geindre. Sinon, j’étais punie. Et il arriva. Plus fin. Plus grand. Plus horrible que le gorille…La Peur me prenait au ventre. Qu’une envie, mourir. En finir avec cette vie misérable ! Je ne demandais qu’une chose ; partir, me détruire, me saloper. Tout mais plus de douleurs et de cloisons…

-Non, je ne pleure pas ! Je promets ! Je ne pleure pas ! J’ai pas pleuré ! Je vous jure, j’ai pas pleuré ! S’il vous plaît…

Ne plus pouvoir…Supporter…Le moment offert…Juste…Le refuser…Pour mourir…Et ne plus souffrir. Ma voix bégaye, prise de plus en plus par les sanglots de mon cœur. Je m’agenouille à ses pieds, et je deviens folle, n’osant le regarder de peur de souffrir rien qu’en croisant ses yeux. Ca va faire mal. Ca fait tout le temps mal. A chacun de mes mouvements…Ma voix monte dans les aigus, pleine de larmes, de supplications incessants et de peur. La Peur…

-S’il vous plaît…

Gifle. Boue. Lèvre ouverte. Et on me traîne vers la porte noire. Gravillons entrant dans les croûtes de mes anciennes blessures. Sanglots. Hurlements. Je ne peux pas ! Je ne peux plus ! Par pitié ! Par pitié, ne me faites pas ça ! Pas encore ! Pas encore !

-Je ne veux plus avoir mal ! Arrêtez ! Ayez pitié ! S’il vous plaît ! Pas ça ! Tout mais pas ça !

La Porte se refermer. Silence. Hurlements de douleur. Humiliation de l’enfant de 5 ans. 5 ans…Et elle crie, la malheureuse. Tout faire pour ne plus souffrir. Elle hurle. Elle crie. Elle jacasse. Elle se tue la voix dans l’espoir qu’on l’entende. Qu’on la sauve. A jamais impuissante. A jamais emprisonnée…

Par pitié ! Tuez-moi si vous m’aimez !

Souffrir. J’ai toujours souffert pour une cause inconnue. Durant quinze années, la douleur fut ma Vie. Et je grandissais avec pour seule pensée, une question. Une simple question qui, aussi fragile soit-elle, me permettait de survivre, de croire en l’espoir d’un Retour…Oh ! Toute mon Existence tournait autour de cette demande pleine de ressentiments, d’amour et du peu de choses qu’il me restait. Elle était là. Au beau milieu d’un cœur brisé, d’un corps affreusement morcelé, digne, pure et innocente. Toujours là. Toujours à me tendre une main divine de par la petite lucarne de ma prison humide. Non, elle ne me haïssait pas, non, elle ne me trahirait pas. Elle restait immobile, attendant ma main, pour me sortir du noir de mon Supplice.

-Où est Papa ?

Petite voix. Minuscule. A peine un chuchotis…De grands yeux mordorés fixait la femme me toisant du regard. Elle me donna une gifle, jeta le peu de nourriture que l’on m’offrait et sortit. Hurlant des tas et des tas d’injures. Crachant que tout était pure sottise. Que je n’étais rien d’autre qu’une enfant sans cervelle. Que je ne savais rien…Non je ne savais rien ! Je n’ai jamais rien su ! Tout ce que je connais se résume à un père inconnu, une torture sans fin, un crime non-commis. J’étais en Enfer…Le pire des Enfers. Ecartelée, brisée, frappée, violée, étranglée, giflée, tuée, injuriée, affamée, assoiffée, humiliée, disgraciée…Tout cela s’aggravant, devenant d’une violence incroyable au fur et à mesure que je grandissais. Dès mes deux ans, je fus victime de ces tortionnaires sans nom. De ces gens horribles…Leurs visages. J’aimerai tellement oublier leurs visages et ma douleur. Mes souvenirs, les jeter au loin, m’en débarrasser et me dire que tout cela n’était qu’un simple cauchemar…
Un Homme. Ca allait recommencer. Ca recommence toujours. Inlassablement. Impunément de ma Volonté. Tant de tristesse, tant de supplice…Mourir. En finir. Mourir !

Et je pleure. Je sanglote. Je tremble. Je meurs sans mourir…Ironie de la Vie. Une Ironie difficile à avaler. Rien pour m’échapper. Pas même un cure dent…

Soudain, le mur se fracasse. Il tombe. Comme par magie. Je crois à un rêve. La Lumière, si tant désirée. La Liberté, si tant voulue. Les voilà réunis, dans un orbe lumineux transperçant les nuages sous le nom de Dragon. Mon regard doré fixe abasourdi ce Sauveur, ce Dieu. Lui aussi me regarde. Puis s’envole. Sans un mot. Sans un bruit…Sans même me dire son nom.

Et ils arrivent, les agents du Diable. Ils courent pour m’attraper. Je me précipite vers l’extérieur. Ressentant l’herbe. Effleurant le Vent. Goûtant à milles saveurs en même temps ! Que de bonheur ! La Nature. Enfin ! La Liberté. Enfin ! Et je cours comme un lutin des bois, m’échappant de l’Enfer, suivie par ses sbires. Je les sème. L’adrénaline m’emporte. Les oiseaux chantent pour me donner des ailes ! Le Vent souffle pour me donner de la vitesse. Et je ris. Oh que je ris ! Je ris réellement ! Tant et plus ! Liberté ! Liberté ! Enfin retrouvée ! Si peu goûtée ! Si peu aimée…

La Plage. Essoufflements. L’Océan. Si beau dans sa luminosité emplie de couleurs vivantes. Je pleure. Oui, je pleure. Car je vois tout ce que j’ai raté, durant ces quinze années. Une Auréole. Le Sang du Soleil plongeant dans le Bleu de la Mer. Je m’immobilise. Goûtant au sable chaud. Au va-et-vient des vagues. L’écume. Le bruit de l’Endormie…Soupir d’extase. Larmes. L’Endroit Rien qu’A Nous…C’est l’Endroit Rien qu’A nous…

L’on me tire en arrière. Le Rêve s’estompe. Je hurle. Oui je hurle. A plein poumons ! Non, je ne veux pas revenir dans cette obscurité ! Je ne veux plus pleurer ! Par pitié ! Aidez-moi ! Entendez-moi ! Je vous en prie…Venez à moi.

Une ombre. Au loin. Elle arrive. Elle accourt. Elle m’entend ! Oh merci ! Merci mon amie…Douleur. Le sang s’infiltre dans mon œil, avec pour dernière vision, cet homme au visage d’ange et aux cheveux rouges. Envoyé de Dieu…Merci.

Camille, ce fut la plus belle vision de toi, celle qui restera en moi…

Combien de fois m’as-tu sauvé de mon Supplice, de mon Désespoir durant ces quelques années passées près de toi ? Je ne me rappelle plus ces moments flous. Juste de ton visage. Et de la main tendue vers moi, le premier jour de notre rencontre…Tu sais Camille, je t’aimerai jusqu’à la fin des temps, et pour cet amour, je te ressusciterais afin de te répondre, et de te dire que je t’ai aimé, que je t’aime à jamais…
Pourtant, je souffre. Oui, je souffre. Ne pas se rappeler de nos moments les plus heureux. Avoir tant de remords de ne pas avoir pu prendre au moins une fois ta main tendue vers moi en signe d’amour. Jamais je n’ai répondu à tes appels incessants, à tes yeux me couvant. Mais tu m’attendais. Tu me comprenais Camille. J’ai toujours eu confiance en toi. Alors, je préfère parler de toi au présent, pour montrer à quel point tu vis encore…A quel point je veux te montrer que je suis désolée de t’avoir tué.

Ce jour-là, tu avais trouvé le Trésor de Papa. Dans l’Endroit Rien qu’A Nous. Je te l’avais indiqué. J’avais confiance en toi…Et je te vois. Sur notre plage ensoleillée. Tendant le magnifique médaillon de jade à cet Homme. Celui de mes malheurs. Celui en chaise roulante. Celui qui m’a torturé et humilié. A cet instant, j’ai senti milles poignards entrés dans mon cœur. La Sensation d’être trahie…Camille, la souffrance que tu m’as infligé ce jour-là fut pire que toutes ses années de supplice dans cette pièce humide et sale. Pire que tout. Tu as voulu m’expliquer. J’ai pleuré. J’ai crié. Tu voulais me vendre Camille ! Me ramener à ce salopard ! Je te détestais Camille ! Je t’ai tué Camille. Un poignard dans le cœur. Tu t’es effondré. Tu m’as supplié. Tu m’as fait pleurer. La main tendue vers moi. Encore une fois…

-Je t’ai toujours aimé, Deserty. Et toi, m’as-tu aimé ?

Cœur brisé. Brisé ma Vie. Vie de Souffrance et de Larmes. Camille. Camille. Camille. Camille ! Je baisse les yeux, contenant cette part d’amour que je souhaitais te donner. Elle hurlait. Elle voulait sortir pour te soigner et t’aimer. Je ne l’ai pas écouté au début, puis j’ai pris ta main. Ta main froide et inerte. Fixant des yeux vides de toute Vie.

Tu es parti Camille, sans que je puisse répondre à la question la plus chère à ton Cœur.

J’ai pleuré. Pleurer à jamais. Qu’une envie ; te rejoindre dans cet autre monde. Mon esprit hurlait. Tout mon corps se lapidait. Tuer l’Homme qu’on aimait. Détruit sa propre existence…Lui est apparu à cet instant, au moment où l’on n’a aucun espoir de retrouver une vie normale. Il m’a chuchoté ses mots doux. Je l’ai écouté, sans me douter de la pierre de Jade brisée, le Trésor de Papa. « Je peux te redonner Camille, Deserty, je peux te le ramener en échange de ton âme ». Et j’ai pactisé. Lui avait éveillé en moi la Passion d’un Retour. L’Envie de revoir un Être Cher. J’allais ramener Camille à la Vie. Je donnerai tout pour cela. Même mon âme.

« Je t’ai crée pour contrôler l’arche, Deserty. En échange, je te redonnerai Camille ♥ ».

Comme je l’ai cru ! Là, devant moi. Il m’appelait sa Mélodie. Celle qui pourra remplacer le quatorzième si jamais celui-ci venait à le trahir. Alors je chantais. Moi, première des akumas. La Voix. Celle qui de son Chant couvrait la terre de larmes. Celle qui de sa musique ne cessait de tenter de combler les attentes de son Père. En pensant peut-être qu’elle retrouvera ainsi son amour de toujours…

Alors j’ai chanté. Encore et encore. Jusqu’à perdre ma voix. Jusqu’à ouvrir peut-être un peu mes yeux sur le monde…Mais il est parti. Le 14e. Et quand vint le temps de le remplacer, je ne pus que rester sans voix devant le piano et sa musique envoûtante. Peinée. Douloureuse. La Souffrance fut tellement forte ! Incapable de remplacer ce que mon Père voulait…Je n’ai plus eu le courage de pleurer. Et je me suis écroulée. Fixant de ce coin sombre, de ma solitude Allen Walker réussir à rendre l’Arche vivante, emplie de lumière, et j’ai pleuré. J’ai hais les hommes plus que tout dès cet instant.

Puis, j’ai regardé mon visage. Cet aspect brûlé. Cette âme que je ne comprenais plus. Ces souvenirs à demi-effacés…Qui étais-je ? Que devais-je faire ? Je suis la Voix. Je suis la Mélodie. Je dois aider Papa. En récompense de quoi ? D’un être mort. Alors j’ai hurlé. De douleur. De peine. De désespoir. Toutes ces émotions se répercutant inlassablement contre les murs noirs de la prison de mon esprit. Sans trouver d’écho. Infinis. Terriblement durs. Ne plus pouvoir espérer. Ne plus pouvoir savourer cette mémoire. Papa ne me rendra pas Camille, c’est ça ? Je ne le reverrais plus ? Je vais rester seule pour l’éternité ? Camille. Camille ! M’avoir abandonné. As-tu eu seulement pitié de moi ? Camille ! Je t’en prie, reviens à moi. Ne pars pas. Je t’en supplie…Ne pars pas. Ne me laisse pas en arrière. Ne me laisses pas seule. Seule…

Pleurs. Larmes. Peine. Plus aucun mot n’arrivait à décrire ce sentiment. Ma Mélodie. Mes yeux à jamais inexistants. L’on m’a privé de tout. Je n’existe plus. Je n’ai jamais existé…Sanglots. Souffrance. Mains contre le cœur brisé. Ha ! Je n’en peux plus. Je ne veux plus de tout cela. Je veux Camille. Je veux Camille ! Cette âme absente de la Terre…Je la veux. Hurlements. Tristesse infinie. Néant de l’âme. Pourquoi. Pourquoi ?! Pourquoi dois-je subir ces malheurs ? Qu’ai-je fait de mal Père ? Pourquoi ai-je ce visage si laid ?! Pourquoi ai-je une telle Voix ? M’avez-vous aimé ? Je fuis. Je n’en peux plus. Vivre sans vivre. Aimer sans aimer. Se souvenir sans se souvenir. Rêver sans rêver. Je suis là et en même temps absente. Je suis la Voix désertique d’un passé douloureux et toujours présent.

En réalité, est-ce que quelqu’un m’a-t-il seulement un jour aimé ?


Ce qu'il est aujourd'hui
: Depuis, je fuis le joug du Comte. Je fuis l'Homme. Et en meme temps, je cherche à devenir humaine...Peut-être pour te ressembler, Camille. Je ne chante plus. Je cache la marque désignant ma fonction de "Voix de remplacement" sous ma frange. Mon but ; te faire revivre ? Je ne sais plus. Je crois que je n'espère plus. Je crois que mon amertume et mes remords viennent du fait que Papa m'a dupé, et que je n'ai même pas réagi à ses mensonges...Je hais les exorcistes, malgré tout, pour récupérer le peu d'existence de Camille qu'il m'a volé, ce collier lui appartenant, j'ai décidé de me joindre à la Congrégation. Haha...Le premier akuma au service de ceux qui doivent le tuer...Non, je ne suis pas la troisième génération d'exorciste. Seuls quelques scientifiques savent qui je suis et ce que je suis, pour les autres, je suis une membre à part entière. Soit une aide, soit une exorciste soit une scientifique. Me cacher dans l'ombre, pour mieux réussir à reprendre le peu de Camille qu'il me reste...Un bandeau sur les yeux et le front, effaçant presque ce qui me caractérise. Sauf cette brûlure...Cette chose enfouie en moi et me dévorant de l'intérieur.


4.Derrière ton écran, qui y a t-il ?

Nom/Pseudo/Surnom : Nitsu ou Dédé 8D
Age : 17 ans
Votre niveau d'RPG :
Comment avez vous connu ce forum :
Comment trouvez vous ce forum :
Le code : Humain et Akuma, je les sauverai tous.
Autres choses : Ne tenez pas en compte mes absences injustifiées, c'est à cause de la soudaine charge de boulot x)

"Votre choix pourrait faire changer le monde...Et le mien ne fait que le figer dans mes souvenirs"



Dernière édition par Deserty le Dim 6 Fév - 21:02, édité 8 fois
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Shira Walker
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 21:14

Bienvenu à toi Deserty.
Bonne chance pour ta fiche.

PS : Veux tu un rang particulier ?
Et puis, ton personnage et un Akuma Modifié, alors pourquoi le mettre dans autre ? >w<
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 22:23

En rang particulier je veux bien " ♠ Poisson rouge à tendances névropathes ♠ " Huhu ♥.

Et pour le groupe, tu comprendras je pense quand j'aurais terminé ma fiche ^^.

Sinon, merci de ton accueil ! ^0^
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 22:29

Je te met ton rang et attend donc ta fiche avec impatiente ~
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 22:46

Bienvenue

Je vais être sympatique pour un Kanda ... o.o'
Bienvenue sur ce forum ! Amuse-toi bien ! :3
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Fév - 23:22

Merci ! ^^

P-S : Trop choupis les chibis >.<"
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeDim 6 Fév - 0:32

De rien !

PS : Merci bien ! Le second ne va pas tarder à évoluer ... Au niveau 101 je crois ...Squiby, tu connais ? :3
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeDim 6 Fév - 21:04

Oui je connais mais j'y suis plus, la page chargeait trop mal uu...

A part ça j'ai fini ma fiche =)
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeDim 6 Fév - 21:32

Waaa longue fiche.
Y largement le compte de ligne x) Tu a un bon niveau en RP ?
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitimeDim 6 Fév - 21:54

Alors, Deserty, ma chère.
Tu es validé.
Je te rajoute donc dans "autre" car, comme tu l'a dit, Deserty est quelqu'un qu'on ne peux classer.
Bon RP à toi ~
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MessageSujet: Re: Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée]   Deserty ~ Akuma des temps anciens ~ [terminée] Icon_minitime

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